Lorsque j’ interrogeai ma mère sur les conditions dans lesquelles ses parents avaient décidé de quitter l’Espagne pour l’Algérie, elle s’est montrée très diserte, et je regrettais, en l’écoutant, ne pas lui avoir posé plus tôt toutes ces questions.
Par la suite, en confrontant son récit, à la lecture d’un acte notarié de 1890, et de titres de propriété de 1886, je pense être parvenu à mieux comprendre ce qui a poussé, en 1909, mon grand père Juan Manuel De Haro Cervantes, alors âgé de 32 ans, et son frère Francisco à quitter la petite ville de Vera en Andalousie pour Ain-El-Arba en Algérie.
C’est Juan Manuel qui le premier de la famille s’est installé dans ce village où sont nés 2 générations de notre famille, entre 1909 et 1962, date à laquelle nous l’avons quitté pour la France.
Par la suite, en confrontant son récit, à la lecture d’un acte notarié de 1890, et de titres de propriété de 1886, je pense être parvenu à mieux comprendre ce qui a poussé, en 1909, mon grand père Juan Manuel De Haro Cervantes, alors âgé de 32 ans, et son frère Francisco à quitter la petite ville de Vera en Andalousie pour Ain-El-Arba en Algérie.
C’est Juan Manuel qui le premier de la famille s’est installé dans ce village où sont nés 2 générations de notre famille, entre 1909 et 1962, date à laquelle nous l’avons quitté pour la France.
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